J’ai intégré Montpellier Business School…

Je m’appelle Victoire Henkeme, je suis née en 1997 j’ai donc aujourd’hui 20 ans, et j’ai intégré Montpellier Business School en L3 en septembre 2017…

« Je m’appelle Victoire Henkeme, je suis née en 1997 j’ai donc aujourd’hui 20 ans, et j’ai intégré Montpellier Business School en L3 en septembre 2017.

Mon parcours scolaire se décrit par une orientation en sciences technologiques du management et de la gestion en 1ère à Aix-en-Provence au lycée Paul Cézanne. Cette voie n’était pas un choix, mais grâce à ma spécialité en Ressources Humaines, je me suis épanouie dans mon travail et j’ai pu intégrer une classe préparatoire à Marseille.

Le choix entre le DUT et la Classe préparatoire n’était pas facile, mais aujourd’hui je ne regrette absolument pas d’avoir intégré l’institution Jeanne Perrimond en CPGE. Car même si le rythme de travail et les attentes des professeurs sont élevés, on apprend, plein de choses en ont en ressort grandi. Déjà, car ça m’a beaucoup appris sur moi, mon degré de résistance, la gestion du stress (que je dois encore beaucoup travailler ), mon envie de réussir même si mon but était et est encore flou, et sur le fait d’être organisée. L’acquisition de cette méthodologie de travail est indispensable.

La classe préparatoire est un tremplin pour arriver en école de commerce. Pour ma part mes objectifs et mes projets d’avenir professionnel sont très vagues.

Aujourd’hui, je suis donc en école de commerce, après avoir passé les concours écrits et oraux (grande étape ), et tout se passe très bien à part la gestion des travaux de groupe. En classe préparatoire nous sommes habitués à travailler beaucoup individuellement, mais en école, tout, pratiquement se fait en travaux de groupe. Et il est parfois difficile de gérer les passerelles et les classes préparatoires, car on ne travaille pas de la même façon.

Pour mon M1 je saurai si je pars en Chine (ou ailleurs) en février, mais c’est pour le moment l’opportunité que j’ai en ayant passé un test obligatoire, l’IELTS. Dernière petite chose, je ne suis pas la seule à témoigner sur ça, mais en école, nous régressons sur notre niveau scolaire. Et pour ma part, en tout cas, c’est pas facile de gérer une mauvaise note lorsqu’on sort de deux ans de classe préparatoire. Il est donc important de travailler aussi en école car sinon, beaucoup de belles portes qui s’offrent à vous peuvent se fermer. 

Bonne continuation ! »

 

@ Victoire Henkeme